Ci-après, découvrez plusieurs de nos autres combats:
bridage à 100 CV
interdiction de circuler sur les cols vosgiens
prévention
consultation des candidats aux élections
contre l'interdiction des indicateurs de danger
contre le fichage.
Atteintes à la liberté de manifester
Verbalisations abusives après la manif du 26/6
En direct sur la page Facebook FFMC PPC le 26 juin 2022 : encore une intimidation de la préfecture de Paris après une manifestation sans aucun incident. Faire peur pour rogner nos libertés, bravo
la Préfecture !
En cas de verbalisation à l'issue de cette manifestation, contactez-nous ici.
Merci à tous ceux et celles qui ont participé !
Bras de fer entre FFMC PPC et la Préfecture de police
Après la dispersion de la manifestation du samedi 7 mai 2022 "Tous concernés par les ZFE", la responsable du service d'ordre de la FFMC PPC et le coordinateur de l'antenne PPC ont été sommés de
suivre les policiers pour une comparution au Commissariat, la Préfecture reprochant à la FFMC PPC une « entrave à la circulation » au
prétexte que:
les motards circulaient sur toutes les voies du périphérique
et marquaient quelques arrêts pour resserrer le cortège.
Ce délit décrit par l'article L 412-1 du Code de la Route prévoit des sanctions pouvant aller jusqu’à : 2 ans de prison, 4500€ d'amende, 3 ans de suspension de permis, retrait de
6 points sur le permis et immobilisation avec mise en fourrière des véhicules en cause.
La FFMC-PPC et son avocat ont contesté ces motifs pour raison de sécurité:
le cortège devant rester groupé pour ne pas que des voitures s’y intègrent
et suite à un accident où un véhicule avait accroché des motards lors d’une manifestation antérieure, il est avéré que la cohabitation d’un cortège de 2 roues motorisés progressant à 20km/h
sur 2 voies et doublé par des voitures circulant à 70km/h sur les deux autres voies très proches est beaucoup trop dangereux.
En fin d’audition, les poursuites ont finalement été classées sans suite, le procureur considérant que l'infraction était insuffisamment caractérisée.
Pour autant, la FFMC PPC et son avocat ont signifié leur volonté de déposer une plainte aux motifs des articles du Code Pénal :
article 434 -1 pour délit d'entrave au droit de manifester, et
article 432-4 pour atteinte par une personne dépositaire de l'autorité publique à la liberté
individuelle de manifester.
Mardi 10 mai : surprenant rétropédalage des autorités qui viennent d’informer la FFMC-PPC que finalement, le classement « sans suite » ne tient plus et que ses représentants devront
finalement se présenter devant le procureur.
On peut très clairement constater la « pression » juridique exercée contre la FFMC et plus généralement contre la liberté de manifester. Bien
évidemment, la FFMC ne se laissera pas intimider et est plus que jamais déterminée dans sa démarche citoyenne à défendre ses droits et ceux des motards.
A suivre. Lire ci-dessous le Communiqué de Presse intégral, détaillant les faits.
Communiqué de presse : bras de fer entre la FFMC PPC et la Préfecture de Police de Paris
Suite à l'interpellation des responsables de la FFMC à la fin de la manifestation du samedi 7 mai, qui s'est pourtant passée sans aucun incident, nous vous remercions sincèrement pour votre
soutien et vos messages prouvant l'indéfectible solidarité du monde motard.
Mais ce qu'il faut retenir de cette affaire, c'est que ce ne sont pas une ou deux personnes qui sont attaquées, mais la FFMC dans son ensemble et surtout les libertés
individuelles de toutes et tous.
Les dérapages de la préfecture de Paris sont de plus en fréquents et cette gangrène sécuritaire risque de se répandre dans d'autres départements si nous laissons faire. Nous l'avons vu, certains
fonctionnaires de police eux-mêmes et notamment les motards sont gênés par cette situation et avouent à demi-mots qu'ils doivent obéir à des ordres qu'ils ne comprennent pas toujours. La préfecture applique une politique de répression disproportionnée et il est impératif de lui rappeler qu'elle est au service des citoyens et non le contraire.
Ce lundi 9 mai au matin, nous sommes à nouveau convoqués et nous y allons avec notre avocat, pour, à notre tour déposer les recours et les plaintes en conséquence.
L'antenne de la FFMC PPC dans son ensemble est déterminée à frapper fort, à médiatiser les faits et à le faire systématiquement à chaque tentative d'intimidation venant de la préfecture ou de qui
que ce soit d'autre et ce, quel qu'en soit le tarif, car la liberté des motards et celle de tous, n'a pas de prix.
Nous devons faire comprendre aux pouvoirs publics que la FFMC n'est pas la petite association du coin de la rue qu'on peut soumettre à volonté et avec laquelle on peut jouer sans retour de
bâton.
Soyez certains que nous sommes conscients de la portée de notre mandat et nous assumons les contraintes qui vont avec. Y compris les risques administratifs et judiciaires.
Notre détermination est sans failles et nous défendrons les valeurs de la FFMC par tous les moyens à notre disposition.
Si vous désirez dénoncer ces dérapages au niveau local ou national, n'hésitez pas à utiliser et relayer les informations qui sont actuellement sur notre site et notre page Facebook.
Nous vous tenons au courant de la suite des évènements.
A l'issue de la manifestation du samedi 7 mai, 2 membres du bureau de l'antenne FFMC PPC, dont le coordinateur, ont été escortés par la Brigade de Répression de l'Action Violente motorisée (BRAV)
jusqu'au commissariat du 13ème arrondissement de Paris afin d'être entendus par la police. L'objet de l'interpellation concerne un arrêt sur le périphérique, dans le cadre du parcours déposé et
approuvé, afin de rassembler le cortège des motards.
L'audition est en cours ce samedi soir à 18 heures 30, mais l'antenne PPC dénonce le ridicule de cette situation et, surtout, cette nouvelle tentative de la Préfecture de
faire pression sur le droit de manifester des motards, à l'issue d'une manifestation qui, à nouveau, s'est déroulée sans aucun aléa.
La précédente tentative ne datait pas plus tard que de mardi dernier, où à 72 heures de la manifestation, la Préfecture refusait pas moins que le point de départ, le point d'arrivée et le
parcours de cette manifestation, alors que ceux-ci avaient été déposés 3 semaines plus tôt !
Motards et citoyens
Dimanche 27 juin : UN MOTARD, UN SCOOTERISTE = UNE VOIX !
La FFMC Paris Petite Couronne, par la voix de son coordinateur Jean-Marc Belotti, appelle les motards et scootéristes à participer ce dimanche 27 juin 2021 au 2ème tour des élections pour élire
le Conseil de Région Ile-de-France et les Conseils Départementaux de petite couronne. Les Zones à Faibles Emissions (imposées par une minorité d'élus à une majorité de français)
et les infrastructures routières (inadaptées ou en mauvais état) relèvent en effet de leurs compétences !
Pour que nos messages en faveur d'une meilleure sécurité routière et d'une transition écologique plus vertueuse soient entendus par les politiques, après nos nombreuses manifestations et
communications auprès des médias, il vous appartient d'exprimer vos attentes ainsi que votre mécontentement auprès de ces futurs élus. Il est donc important que chaque motard ou
scootériste aille voter pour faire entendre sa voix en fonction de ses propres convictions ou, sinon, utilise un vote "blanc" pour exprimer son opposition à la politique actuelle.
FFMC PPC se mobilise pour la distribution de masques
Face à la pandémie de Covid-19, la FFMC PPC fait aussi acte de solidarité. Elle transporte bénévolement des masques de protection fabriqués par deux collectifs : Couturières Solidaires et les
Petits Masques Solidaires.
L'efficacité et la rapidité des 2-roues motorisés et l'attention aux règles sanitaires ont valu la confiance du directeur de la Fondation OPEJ pour le transport de masques, mais aussi de gels
hydroalcooliques et de gants, vers l'OPEJ et d’autres centres qui luttent contre la maltraitance des enfants.
Lire cet article complet sur...
Réforme du permis moto
Permis A2 : choisir sa moto, enfin !
Depuis le 19 janvier 2013, les titulaires du nouveau permis progressif dit permis « A2 » ne pouvaient conduire que des motos bridées à 47,5 chevaux maximum à la condition que la
puissance d’origine du véhicule ne fût pas plus de deux fois supérieure à la puissance bridée.
Cette limite interdisait aux nouveaux conducteurs l’accès à nombre de motos d’occasion bridées à 34 ch (limite de puissance en vigueur avant la réforme de 2013), obligeant ces derniers à
se tourner vers des motos plus récentes, et donc plus chères...
Heureusement pour eux, elle vient d’être supprimée par décret (décret n° 2014-1295 du 31 octobre 2014 portant
diverses dispositions en matière de sécurité routière).
Une nouvelle puissance max plus cohérente
Le nouvel article R221-4 du code de la route impose désormais une limite plus cohérente en imposant que les motos bridées pour les permis A2 ne soient pas dérivées d’un
modèle de plus de 70 kW (soit environ 95 chevaux). Grâce à cette modification de texte, les titulaires du permis A2 accèdent à toute une gamme de moyenne cylindrée bridées à 34 chevaux très présente sur le marché de l’occasion à
des tarifs abordables.
La FFMC attendait avec impatience la publication de ce décret, promis par le ministre, qui concrétise une revendication qu’elle portait depuis de longs mois avec ses structures :
l’Assurance Mutuelle Des Motards et l’Association pour la Formation Des Motards.
Interdiction de circuler sur les cols vosgiens
Le Haut-Rhin veut empêcher les motards de circuler sur la voie publique!
S’il fallait une caricature pour démontrer les capacités de motophobie et de discrimination dont sont capables certains représentants de l’Etat et certains élus vis-à-vis des motocyclistes, en
voici un bel exemple. En effet, le Préfet du Haut-Rhin et le Président du Conseil Général du Haut-Rhin envisagent d’interdire la circulation des motos le week-end dans la majorité des cols
vosgiens !
La Fédération Française de Motocyclisme (FFM), la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC) et le Collectif de Défense des Loisirs Verts (CODEVER) rappellent, puisque cela semble
nécessaire, que depuis sa décision du 12 juillet 1979, le Conseil Constitutionnel a consacré que la liberté d’aller et de venir est un droit fondamental de valeur constitutionnelle, protégé par
les articles 2 et 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789.
Aussi, la FFM, la FFMC et le CODEVER s’opposent formellement à ce projet et n’hésiteront pas, le cas échéant, à défendre les droits des motocyclistes devant les juridictions compétentes.
La FFMC 68 a lancé une pétition pour dénoncer cette menace d’interdiction. vous pouvez la signer sur :
Communiqué de presse commun FFM, FFMC, CODEVER du 22 janvier 2013
Consultez le communiqué commun de la Fédération Française de Motocyclisme, de la Fédération Française des Motards en Colère, du Collectif de Défense des Loisirs Verts.
Nous l'avons appris dès hier soir, et ce matin à la radio et dans les journaux, que le projet Préfecture - Conseil général 68 d'interdiction des cols vosgiens aux motards a été retiré.
Il est vrai qu'en 2 jours et demi, nous avions reçu plus de 11 000 signatures pour notre pétition contre ce projet, que la mobilisation se préparait et que l'affaire avait pris une tournure
nationale, voire européenne,
Sincèrement, un grand MERCI pour tous les soutiens que nous avons eu, notamment sur cette liste, par le BN, et par tous les canaux qui ont été utilisés,
Nous restons vigilants quant à la suite, car des gens capables de pondre un tel projet sont capables d'en faire d'autres
À l’occasion de la 9ème Enduropale / Quaduro du Touquet, les antennes de la Fédération Française des Motards en Colère organisent trois « Relais Motards Calmos » pour inciter les motards à faire
une pause sécurité sur la route du Touquet.
Expression d’une chaîne de solidarité motarde, ces relais contribuent à améliorer les conditions de sécurité de cette grande migration motocycliste.
Téléchargez la pièce jointe pour les localiser sur l'A16, et la RN39.
Cinq « Relais Motards Calmos » sur la route de la 20ème édition du Grand-Prix de France moto
Le 20ème Grand-Prix de France moto aura lieu les 17, 18 et 19 mai prochains au circuit du Mans. Comme chaque année à l’occasion
de ce grand événement, les bénévoles de la Fédération Française des Motards en Colère (F.F.M.C.) mettront à disposition des motards
cinq « Relais Motards Calmos », pour les inciter à faire une pause.
Dans ses propositions et actions pour une vrai sécurité routière, la FFMC met en place chaque année, des relais Calmos pour les motard(e)s se rendant au Bol d'Or.
Vous y serez chaleureusement, gratuitement et solidairement accueillis par les militant(e)s des antennes FFMC afin de vous y reposer et vous ravitailler.
Lisez bien la pièce jointe qui vous donne les positions géographiques des RELAIS CALMOS FFMC et surtout vous informe sur les pièges à motards tendus par les MIB (Mens In Blue).
Bonne route à toutes et tous et bon week-end motard.
Motardement.
Jean-Marc BELOTTI
Coordinateur de la FFMC Paris et Petite Couronne
Privatisation des services publics
La FFMC dénonce la privatisation des radars
En annonçant la privatisation des contrôles de vitesses au moyen de voitures-radars déléguées à des sociétés privées, le gouvernement s’engage dans la privatisation de la sécurité
routière… qui devient toujours un peu plus « rentière ». La chasse aux profits est lancée, avec les usagers de la route en guise de gibier.
Le
gouvernement va bientôt lancer une expérimentation puis un appel d’offre afin de privatiser les radars mobiles. Une
expérimentation débutera au début de l’année. Une fois cette expérimentation terminée, à la fin du premier semestre 2017, un appel d’offres public sera donc fait par le gouvernement.
Cette privatisation avait été annoncée par Manuel Valls,
il y a un an. Il avait expliqué que cette privatisation serait mise en place suite à une augmentation du nombre des accidents de la route.
La privatisation des radars mobiles, c’est pour l’été
prochain
La privatisations des radars : rouler plus longtemps pour flasher plus de
véhicules.
Concrètement, le problème rencontré par le gouvernement,
c’est que les policiers n’ont pas assez de temps pour rouler au volant des voitures possédant des radars mobiles. Aujourd’hui, ces 383 voitures ne roulent qu’environ 1h30 par jour. Le but,
c’est qu’à l’avenir, elles roulent 8 heures par jour. Bien évidemment, qui dit rouler plus longtemps, dit flasher plus de fois. Un appel d’offres public qui devrait donc être rentable pour le
gouvernement.
Avertisseurs de danger
CNSR : retour des panneaux de radars, absence d'éthylotest non verbalisée
Voici encore une bonne nouvelle, qui nous donne l'occasion de saluer le travail des représentants du mouvement de la FFMC au sein du CNSR.
En effet, mercredi 13 février, le Conseil National de la Sécurité Routière annonce le retour des panneaux signalant les radars fixes, et propose de faire de la consommation inadaptée d’alcool une
"grande cause nationale".
La FFMC salue la priorité donnée à la prévention des accidents causés par l’alcool, notamment en direction des publics à risques. L’absence de verbalisation pour la non–possession d’un éthylotest
redonne son caractère préventif et pédagogique à cette mesure d’autocontrôle.
Ci-après, le communiqué de la FFMC.
Communiqué de la FFMC sur les décisions du CNSR (panneaux de radars et éthylotests)
La société Navx, spécialisée dans le téléchargement de POI pour GPS et qui commercialise notamment un fichier avec plus de 6000 emplacements de radars en France a saisi le Conseil d'Etat pour
contester le décret, paru le 4 janvier, interdisant les avertisseurs de radars.
Par ailleurs, un recours devant le conseil d’état émanant de la FFMC et concernant plus largement d’autres dispositions du décret est à l’étude et sera débattu à la réunion du bureau national du
22 janvier 2012.
Jean-Marc BELOTTI
Coordinateur FFMC Paris et Petite Couronne
Référé de la Sté Navx devant le Conseil d'Etat
La nouvelle viens de tomber.
Hier (mercredi 8 février 2012), la société NAVX fournisseur de services pour GPS et smartphones avait, suite au décret de la bande à Guéant interdisant les avertisseurs de radars, engagé une
procédure de référé suspension devant le conseil d’état.
Malheureusement, la décision du conseil d’état est négative et la société NAVX à été déboutée.
Pour autant, la société NAVX n’a pas obtenu gain de cause sur le référé (annulation immédiate du décret). Ca ne veut pas dire que tout est perdu, car le conseil d’état doit maintenant statuer sur
le fond. Cette décision, peut prendre entre 8 et 9 mois.
Affaire à suivre, d’autant plus qu’il y a 3 semaines, la FFMC a également déposé un recours devant le conseil d’état pour faire annuler le décret dans son ensemble.
Je vous rappelle que ce décret ne comprend pas que l’interdiction d’avertisseurs de radars, mais tout un tas de mesures, dont les éléments rétro réfléchissants.
N’oubliez pas la manif du 25 mars à Paris et d’autres actions à venir en attendant…
Restons mobilisés
Jean-Marc BELOTTI
Coordinateur de la FFMC Paris et Petite Couronne (75, 92, 93, 94)
Stigmatisation des usagers
Pétition motophobe : interdire les 2RM dans Paris
La ville de Paris vient de lancer une consultation intitulée « Les dialogues parisiens, comment bien vivre à Paris demain ? » afin de « répondre à l’urgence climatique et permettre
à chacune et chacun de pouvoir bien vivre à Paris », du 11 octobre au 20 novembre 2022.
L’association « Ras le scoot » fait la promotion de la proposition suivante : « Il faut interdire les deux-roues motorisés thermique dans Paris, trop de bruit et
de pollution ». Tout le monde peut se prononcer (pour, contre) jusqu’au 20 novembre sur cette proposition motophobe (et d’autres, qui font partie de la consultation), qui a
déjà recueilli plusieurs centaines de suffrages.
EXPRIMEZ-VOUS nombreux et nombreuses en cliquant ici !
Le poids des mots, le choc des clichés
par Eric Thiollier, Délégué Général de la FFMC nationale.
Vu sur le blog de la FFMC.
Il est parfois amusant, souvent agaçant de constater comment le traitement médiatique de certaines informations souffre du miroir déformant de nos perceptions des questions abordées.
Ainsi la publication du baromètre Axa Prévention sur « les comportements des
français en deux roues motorisés » a suscité des réactions révélatrices des a-priori des rédacteurs de certains articles.
Ainsi pour le Figaro, les
conducteurs de 2RM « multiplient les imprudences sur les routes », le repaire
des motards, qui pourtant ne pourrait être taxé de motophobie titre « insécurité croissante pour les deux-roues » Plus mesurée France Bleue Ile de France, en tant
qu’officieuse « radio Trafic », spécialisée des transports, délivre une information moins orientée, et plus factuelle des résultats de l’enquête d’Axa Prévention.
Les raccourcis sont également nombreux. Pour le Figaro : « 57 % des conducteurs de deux-roues motorisées reconnaissent rouler à 65 km/h en ville ». Une majorité de cinglés ? En
réalité, ils sont 57% à reconnaître qu’il leur arrive de rouler à 65km/h. La nuance est de taille ! Face à ces raccourcis, que dit en réalité l’enquête : les conducteurs de deux roues
motorisés sont des usagers de la route prudents (davantage que les automobilistes sur les questions du téléphone ou des feux oranges grillés par exemple, et très
sensibilisés aux questions de sécurité routière et à leur vulnérabilité (notamment les motards), et enfin que la situation s’améliore.
Une lecture attentive de l’étude Axa suffit à s’en convaincre. Est-ce ce que l’on retient des titres évoqués ci-dessus ? Pas vraiment…
Alors, bien sûr, il reste des progrès à faire notamment sur la question de l’équipement, et surtout du téléphone au volant/guidon qui malheureusement se banalise, y compris en 2RM (même si, là
encore c’est dans des proportions infiniment moindre qu’en auto) ce qui est préoccupant. Mais les motards et les scooters sont très attachés à leur sécurité. J’en veux pour preuve par l’exemple
qu’ils sont une majorité à s’équiper de gants alors qu’aucune réglementation ne les y contraint. Bien entendu, le conducteur de deux roues motorisé a une conscience aigüe de sa
vulnérabilité !
Quant aux différences scooters / moto (plutôt à l’avantage des motards), elles s’expliquent simplement par le fait qu’on a affaire à des populations différentes, dans leurs usages, dans leurs
motivations, par l'âge moyen des utilisateurs, et surtout par la formation qu’ils ont suivie… ou pas.
La réaction de votre humble serviteur qui tente de remettre l’église au milieu du village face à ces questions dans une interview à 20 minutes sera-t-elle audible ? Il est à craindre que
non : les clichés ont la vie dure. Raison de plus pour leur faire la peau, notamment par un comportement exemplaire sur la route.
Le baromètre 2RM 2014...
Au micro de Drivelemag.tv, Céline Soubranne (secrétaire générale d'Axa Prévention) présente les principaux résultats du baromètre 2014 sur la vulnérabilité des 2-roues motorisés. Ces données sont
ensuite commentées par Marc Bertrand, chargé de mission Sécurité Routière pour la FFMC.
« On rêve... » !!!
Motardes, Motards, réagissons au scandale !!!
Voici la campagne de sécurité rentière que se permet de s’offrir avec notre argent de contribuables, la préfecture, le Conseil Général et la sécurité routière du VAR !!!
Cette association de malfaiteurs, veut bouffer du motard en nous faisant encore et toujours passer pour des délinquants de la route.
Aujourd’hui, il faut un bouclier pour que les braves gens se protègent des motards. Et demain, ces élus imbéciles et irresponsables lanceront-ils un appel afin que la population s’arme contre
nous ?
Cette campagne est une honte et il faut leur faire savoir. Notamment en pourrissant la boite mail de l’agence de communication qui s’est faite complice de cette mascarade :
Création de Jean-Christophe Jamet pour la FFMC (merci !).
Campagne scandaleuse de Sécurité Routière dans le Var : le Bureau National de la FFMC interpelle le CNSR
A la suite de la campagne de sécurité routière stigmatisant les motards, mise en place par la préfecture du Var et l’agence de communication Paprika, voici le courrier que vient d’envoyer
le Bureau National de la FFMC à la Commission 2 roues du Conseil National de la Sécurité Routière.
Bonjour à tous,
Vous trouverez ci-joint pour information et avis une affiche de la préfecture du Var qui a fait beaucoup réagir le monde de la moto car les utilisateurs de deux
roues motorisés y sont à nouveau dépeints comme des « prédateurs » pour les autres usagers de la route.
Nos remarques:
les deux roues motorisés (et notamment la moto en tant qu’objet) sont à nouveau stigmatisés
L’opposition entre les usagers de la voie publique que sous-entend ce visuel de la préfecture du Var ne fait pas avancer la cause de la sécurité routière :
la vision de la préfecture du Var est contraire à la notion du partage de la route nécessairement fondée sur une compréhension mutuelle entre TOUS les usagers
Rien d’objectif ne corrobore le fait que les 2RM soient plus dangereux que d’autres véhicules pour les piétons… on peut même souligner qu’en cas de traversée
irrégulière (intempestive et/ou imprudente) du piéton inopinément « sous les roues » d’un conducteur de 2RM, celui-ci risque aussi d’être blessé ou tué, même dans le cas où il parvient à
éviter le piéton dans une manœuvre d’évitement qui pourra se terminer dans un accident secondaire en chutant ou en heurtant un objet de l’infrastructure urbaine/routière
Il est étonnant que la DSCR permette l’apposition de son logo sur ce type de communication qui va à l’encontre du travail partenarial mené à plus haut
niveau, notamment au sein du CNSR.
Un membre actif de la FFMC, par ailleurs vidéaste, a réalisé une vidéo qui résume bien la réaction du monde des motards vis-à-vis de ce très mauvais exemple de
campagne de sécurité routière et suggère des pistes d’amélioration de la communication sur la sécurité routière
A l’inverse, et de l’autre coté de l’Atlantique, la Société des Assurances du Québec, a produit un petit film de sensibilisation aux deux roues motorisés, qui
loin de les stigmatiser, insiste sur l’importance , pour les automobilistes d’y prêter attention, et pour les deux roues motorisés de se faire bien voir.
Ce type de message est plus audible tant par les deux roues que par les autres usagers, à ce titre plus utile, et traduit, selon nous, un usage plus pertinent du
denier public.
Bien cordialement,
France Wolf, Coordinatrice du Bureau National de la FFMC.
PS : A l’issue de la mobilisation de nombreux motards, scandalisés par ces affiches, est apparu par la suite un deuxième visuel incluant une
voiture
Cela ne change pas le fond de notre propos explicité dans la première vidéo : il est inutile, voire contre-productif de pointer du doigt telle ou telle catégorie
d’usager de la voirie.
Fichage
Le cadeau de départ de Guéant...
Vu sur http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-poncet/fichier-geant-le-cadeau-de-depart-de-claude-gueant-10-05-2012-1460063_506.php
Par Guerric Poncet (Le Point) : "Claude Guéant veut laisser son empreinte avant de quitter la place Beauvau. Afin que la très controversée loi sur la sécurité Loppsi 2, voulue par Nicolas
Sarkozy et Brice Hortefeux, ne reste pas au fond des tiroirs - comme beaucoup de lois votées -, le ministre de l'Intérieur a fait paraître au Journal officiel du 8 mai le décret
d'application d'une des mesures phares de la Loppsi 2, le "fichier d'analyse sérielle". Derrière cette dénomination barbare se cache une véritable arme atomique contre la vie
privée, puisqu'il s'agit ni plus ni moins d'exploiter ensemble toutes les données dont disposent l'État et ses services sur un individu. Cela inclut les données qui peuvent être réclamées à des
entreprises, par exemple l'ensemble de l'activité sur Facebook, les communications par email, les sites web consultés depuis un abonnement à Internet, etc.
Ce n'est pas le seul cadeau de départ de Claude Guéant. La Loppsi 2 prévoyait déjà de fusionner les fichiers de police (Stic) et de gendarmerie (Judex), et de conserver des données jusqu'à
quarante ans, grâce à un décret lui aussi paru très opportunément au JO, dimanche 6 mai, jour de l'élection de François Hollande. La loi permet donc désormais aux policiers et
aux gendarmes des recoupements beaucoup plus précis, y compris avec des informations biométriques. Les abus dans les accès aux fichiers de police étant nombreux, y compris au profit
d'officines extérieures à l'État, les défenseurs de la vie privée ont exprimé leurs plus vives inquiétudes.
CONSENSUS A DROITE ET A GAUCHE
Le fichier d'analyse sérielle peut exploiter des photos permettant l'identification des individus, via l'empreinte de leur visage (distance entre les yeux, courbes, positionnement du nez,
etc.). Couplé au réseau national de caméras de vidéosurveillance (ou de vidéoprotection, leur appellation officielle), l'État dispose d'une arme redoutable contre les criminels, mais
aussi contre l'ensemble de la population. Et c'est bien ce que dénoncent aussi les défenseurs de la vie privée pour qui, une nouvelle fois, au nom de la lutte contre le
terrorisme, l'exécutif réduit drastiquement l'application de certaines libertés fondamentales.
Via ce nouvel outil, officiellement à la disposition des forces de police sous certaines conditions (de gravité de l'affaire, notamment), l'État se dote d'un arsenal de surveillance
inquiétant. D'autant plus que, si certains décrets et lois devraient disparaître avec l'arrivée d'un gouvernement de gauche, les questions de sécurité ont toujours fait en France l'objet d'un
consensus surprenant. Le plan Vigipirate, qui prévoit un État d'exception (étape intermédiaire avant l'État d'urgence et l'État de siège) et donc des dérogations à la Constitution, est en vigueur
depuis le milieu des années 1990. Des gouvernements de droite et de gauche se sont depuis succédé, sans jamais le remettre en question. Il est donc peu probable qu'un changement de gouvernement
remette en cause les "acquis" des lois sécuritaires face aux libertés fondamentales. On est bien loin de l'Allemagne, où le souvenir de la Gestapo puis de la Stasi a rendu les institutions
allergiques à toute forme de fichage massif des citoyens".
Fichage des contrevenants au code de la route: le Conseil d’Etat saisi
L’Automobile club des avocats (ACDA) et la Ligue des droits de l’Homme (LDH) demandent au Conseil d’Etat l’annulation du fichier Ares, acronyme de « Automatisation du registre
des entrées et sorties des recours en matière de contravention », destiné à recenser les données personnelles des usagers de la route contestant leurs contraventions au code de la route. Elles
ont déposé le 16 mai 2012 un recours contre l’arrêté du 20 février 2012 autorisant la création du fichier Ares.
« Par ce recours, l’Automobile club des avocats et la Ligue des droits de l’Homme entendent montrer que le fichier, qui porte sur les données à caractère personnel, ne respecte pas les
exigences de la loi Informatique et libertés, telles que l’obligation de collecter des données pertinentes ou l’interdiction de ne pas conserver des informations au-delà de ce qui est nécessaire,
alors même que le non-respect de ces exigences a été plusieurs fois sanctionné par le Conseil d’Etat », précise Me Romain Perray l’avocat des associations requérantes. Dans un Etat de droit,
souligne Me Rémy Josseaume, avocat et président de l’ACDA, « il ne saurait être acceptable que des automobilistes ou des motards soient ainsi fichés alors même qu’ils seraient relaxés par un
tribunal ou que l’administration abandonnerait les poursuites à leur encontre ».
Au-delà de la défense des automobilistes contre des stigmatisations outrancières, il s’agit surtout par ce recours de protéger non seulement les droits et libertés fondamentaux de tous les
citoyens contre des procédés indignes mais aussi la création d’un fichier d’antécédents pré-judiciaires.
Radars tronçons : le changement dans la continuité
Le gouvernement annonce le lancement des radars tronçons sur le territoire français. Un système répressif de plus, qui calcule la vitesse moyenne des véhicules sur une section
donnée et qui envoie des contraventions sans flash et en toute discrétion.
Lettre ouverte aux candidat.e.s aux élections présidentielles et législatives 2017...
A quelques semaines des échéances électorales, la FFMC adresse une lettre ouverte à tous les candidat.e.s en compétition, pour les présidentielles comme pour les
législatives.
Le Bureau National des Motards en colère et ses 88 antennes départementales ont choisi cette année de ne rien demander aux candidat.e.s. Pourquoi ?
La sécurité routière, « grande cause nationale » ? Pas si l'on considère les professions de foi des onze candidat.e.s à l'élection
présidentielle de 2017 : les prétendants à l'Elysée s'en moquent et ne s'avancent sur aucune proposition, si ce n'est pour reconduire les politiques déjà menées par leurs
prédécesseurs, que nous remettons en cause !
En effet, ces cinq dernières années, il nous a fallu nous battre contre des projets de contrôle-technique qui n'enrichissent que les lobbies
marchands, contre des obligations superfétatoires et imbéciles (port obligatoire d'équipements homologués, agrandissement des tailles des plaques d'immatriculation à seule fin
d'optimiser le fonctionnement des radars automatiques), l'extension des contraintes liées à l'accès à la moto et au permis de conduire, des restrictions de circulation en ville pour les
deux-roues motorisés pour des motifs de pollution alors qu'aucun de nos engins légers et pratiques ne roule au gasoil et qu'ils contribuent au désengorgement du trafic des véhicules dans les
grandes agglomérations, comme l'a reconnue l'Union Européenne !
Pourtant nos propositions sont connues, détaillées, concrètes. Elles sont décrites en cinq axes dans le Manifeste de la FFMC pour la sécurité des deux-roues motorisées, que nous avons déjà adressé aux candidats aux présidentielles en 2012. Notre expertise porte sur le conducteur
(l'éducation routière, l'équipement), le véhicule (sécurités actives et passives), l'environnement de circulation (partage de la route entre les usagers, infrastructures routières),
l'environnement institutionnel et citoyen, les sports et les loisirs. Au travers de ces cinq thèmes, nous développons une vision citoyenne des pratiques basées sur le bon sens, la
responsabilisation et l'engagement de l'individu. Malgré cela, au cours des deux derniers quinquennats, les usagers de la route ont vu se multiplier les décrets et arrêtés qui toujours
interdisent et opposent et jamais ne permettent ni associent.
Ainsi, en cette veille d'élections, les Motards en colère ne sollicitent aucune promesse des candidat.e.s qu'ils ne tiendront pas, pas plus que leurs prédécesseurs
n'ont tenu celles qu'ils ont faites !
En revanche, nous, les Motards en colère de la FFMC qui représentons des milliers d'adhérents et militants associatifs, des centaines de milliers
de sympathisants et des millions d'usagers de la route, nous vous faisons une promesse et nous allons la tenir : celle de ne jamais vous laisser tranquilles quand vous tenterez de nous
abuser, celle de toujours vous interpeller et de vous rappeler à l'engagement de vos mandats et faire en sorte que nos convictions en faveur de la Liberté, de l'Egalité
et de la Fraternité soient respectées !
Lettre ouverte de la FFMC aux candidat.e.s aux élections présidentielles et législatives
Moto Magazine a interrogé les candidats à l’élection présidentielle pour savoir s’ils poursuivront la politique de désengagement de l’État en matière de sécurité routière.
Marcheront-ils tous au radar ? que ce soit pour leur rentabilité accrue ou pour les décrier uniquement à des fins démagogiques...
En complément à l’enquête publiée dans Moto Magazine n°336 d’avril 2017 (cf. ci-dessous), Motomag.com dévoile leurs réponses. Certains protestent, s’engagent, d’autres se
contentent d’une position pragmatique. Tous émettent des propositions en matière de sécurité routière, que Motomag vous propose de découvrir.
Régionales 2015 : PPC interpelle les candidats
Amies motardes, amis motards.
Cette semaine, La FFMC Paris et Petite Couronne a rencontré Valérie Pécresse qui nous a reçus en personne. Puis, c’était au tour de l’équipe de campagne de Claude Bartolone (lui, était trop
occupé pour nous recevoir personnellement).
Vu la courte distance qui les sépare dans la course aux régionales, nous avons voulu faire en sorte que les voix des motardes et des motards comptent et qu’ils nous donnent des gages quant au
traitement des usagers de 2-Roues Motorisés en Ile-de-France et, notamment, sur la problématique de l’interdiction de circulation dans Paris, faite aux 2-Roues Motorisés d’avant 2000.
Nous les avons également interpellés sur le fait que, malgré la forte augmentation d’utilisation, le 2-Roues Motorisé ne figure pas dans le PDU (Plan de Déplacement Urbain) et que, par
conséquent, les problèmes rencontrés par ses usagers ne sont jamais débattus ni pris en compte au niveau de la région.
Vous trouverez en pièces jointes, les réponses des équipes des deux candidats. Même si elles ont le mérite d’exister, les réponses nous semblent quelque peu timides…
Par ailleurs, nous attendons d’autres rendez-vous avec la mairie de Paris en janvier car nous ne lâcherons rien sur l’interdiction de circulation.
En attendant, bonne lecture et à vos bulletins.
Une motarde ou un motard, c’est une voix !!!
Jean-Marc BELOTTI
Fédération Française des Motards en Colère
Coordinateur Antenne Paris et Petite Couronne (75, 92, 93, 94)
Régionales IdF 2015 : réponse du cabinet de Valérie Pécresse.
En février dernier, les trois grandes associations de la moto, la FFMC, la FFM et le CODEVER ont décidé d'interroger via un questionnaire commun Mesdames Eva Joly et Marine Le Pen, Messieurs
François Bayrou, François Hollande, Jean-Luc Mélenchon et Nicolas Sarkozy sur des questions relatives à la pratique de la moto.
En plus de ce questionnaire, la FFMC à décidé de remettre un coup de pression aux candidats, avec sa manifestation qui à fait déferler plus de 70.000 motardes et motards dans tous les
départements de France (y compris à Cayenne et sur l’ile de la Réunion), le samedi 24 mars. Et le dimanche 25 mars, avec plus de 15.000 motardes et motards, rejoints par les antennes FFMC de 40
départements.
Vous trouverez, via le communiqué de presse ci-après, les réponses respectives de chacun des candidats à la Présidentielle, ainsi que l'analyse qu'en fait la
FFMC.
Motardement.
Jean-Marc BELOTTI
Coordinateur de la FFMC Paris et petite Couronne
« Celui qui combat peut perdre. Celui qui ne veut pas combattre à déjà perdu. »
Questions posées aux candidats
Questionnaire adressé par FFM-FFMC-Codever aux candidats à la Présidentielle 201Z
En février dernier, les trois instances françaises majeures de la moto et des loisirs motorisés, la Fédération Française de Motocyclisme (FFM), la Fédération Française des
Motards en Colère (FFMC) et le Collectif de Défense des Loisirs Verts (CODEVER) ont interrogé les principaux candidats à l'élection présidentielle pour
connaître leur position sur le motocyclisme en général.
La totalité des candidats interrogés (François Bayrou, François Hollande, Eva Joly, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon, Nicolas Sarkozy) ont répondu à l'exception de François
Bayrou.
Les 10 questions posées portaient sur 3 thèmes :
SÉCURITÉ ROUTIÈRE
SPORT MOTO
LOISIRS VERTS
Si certains candidats ont répondu clairement aux questions posées (de manière positive ou négative), force est de constater que ce n'est pas le cas de tous, la "langue de bois" ayant
été largement utilisée. Nous laissons à chacun la possibilité de se faire son opinion en allant consulter les réponses des candidats sur l'un des sites suivants : www.ffmoto.org, www.ffmc.asso.fr, www.codever.fr
Pour sa part la FFMC publie sur son Blog des présidentielles, son analyse des réponses apportées par chacun des candidats :
un groupe Facebook FFMC appelle toutes les motardes et les motards à aller voter dimanche matin en tenue de Motard(e).
C'est l'occasion de montrer que nous sommes aussi et surtout des citoyens, que nous votons et que les politiques doivent compter avec nous.
Même si le bureau de vote est près de chez vous et que vous n'avez pas besoin de prendre votre moto pour vous y rendre, allez y quand même en tenue et surtout, concertez vous sur l'heure
en fonction de vos bureaux et si vous rencontrez d'autres motardes et motards qui ont répondu à cet appel, n'hésitez pas à vous prendre en photo.